Les Braises, Sándor Márai

Publié le par Louis Sipher


En Hongrie, au début des années 40, 2 hommes, autrefois amis, se retrouvent après 41 ans et 43 jours de séparation. Plus qu’un roman, Sándor Márai nous entraîne dans une réflexion sur le sens de l’amitié et de l’amour. Le tout est fait avec subtilité et une grande délicatesse nostalgique.

Plus je repense à ce bouquin, plus je me dis qu’il est fin, nuancé et bien écrit. Les souvenirs des 2 hommes nous ramènent à la fin du XIX siècle, dans une Vienne alors capitale de l’empire austro hongrois.

J’ai bien conscience qu’à première vue, lire les récits d’un écrivain Hongrois rapportant les souvenirs de 2 vieillards dans un château paumé n’est guère engageant. Et bien détrompez vous, « Les Braises » est comme un Cristal Roederer dégusté sur une terrasse de pierre, à la fin de l’été, alors que vous revenez de la gare après avoir accompagné un être cher au train de 18h08. Il fait doux et le ciel est bas. On est un peu nostalgique, mais finalement la vie vaut d’être vécue.


Publié dans Lectures

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C
Koman tu ma trop b1 serné j'alusine !!!!!!!!!!!!!!!!! lol ptdr kikou c'est clair trop pas carrément.Sérieux, tu devrais t'installer une consult de voyance, c'est tout moi ton portrait, surtout ma recherche du bonheur de l'humanité, que cela transparaisse ainsi dans mes écrits remplit mon coeur de joie et d'allégresse..........(En vrai je suis ta mère et tu vas aller me ranger ta chambre immédiatement au lieu d'écrire des conneries sur l'informatique !)(Et je prie Sandor Marai de bien vouloir t'excuser de digresser ainsi sur un billet qui lui est consacré, graine de voyou)
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L
Donc un bon 5Kg divisé par vingt deux ans multiplié par un QI de 170 au moins. Cela nous fait grosso modo 38 kg moins 4 dents soit 34 kg. Avec quelques broutilles, on doit arriver toute mouillée à peine à 48 kg.<br /> Mesurant 1.82 mètre et chaussant du 36, tu as déjà derrière toi une longue carrière de mannequin professionnelle, mais tu préfères aujourd’hui te consacrer à la recherche thermodynamique appliquée aux mathématiques. <br /> Je sais que l’argent ne t’intéresse pas, car tu as déjà gagné des millions sur les podiums de Milan, Paris et New York. Ce que tu veux, c’est le bonheur de l’humanité, cela se sent lorsque l’on te lit.<br /> Comprenant ton engagement profond et ton sens du sacrifice inné, je veux te soutenir moralement du mieux de mes capacités. Ayant hérité d’un oncle Belge la totalité du complexe agro alimentaire Tagada, je suis en mesure de te donner 48 kg de fraises que je ferais livrer au centre Weight Watcher local demain matin à la première heure.<br /> Je t’en prie, accepte ceci comme preuve de mon soutien indéfectible à ta cause, qui est juste.
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C
Chouette !Mon poids est égal à la masse de mon cerveau divisé par mon âge, multiplié par un chiffre équivalent à mon quotient intellectuel, moins quatre dents et plus quelques broutilles (des riens !).La livraison peut s'effectuer à l'assoc Weight Watchers la plus proche de chez toi.Sinon j'aime bien aussi l'option RIB, ta contribution à mon bonheur serait appréciée à sa juste valeur. :-D
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L
Merci du compliment, ca me fait très plaisir.<br />  <br /> Quant à la récompense, chère Cune, je suis heureux et fier de t’annoncer que tu viens de gagner ton poids en fraises Tagada.<br />  <br /> Merci de m’indiquer une adresse de livraison dans une prochaine correspondance.
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C
C'est très joli, le dernier paragraphe.C'est quoi, la forte récompense ??;o))
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